Lever de rideau sur Edward Hopper de Karin Müller
Une belle et courte biographie écrite à la première personne de ce peintre dont je ne me lasse pas de contempler les toiles et dont la rétrospective au Grand Palais m'avait particulièrement émue.
Peinture ambiguë, mystérieuse. On a évoqué pour parler des réalisations du peintre, le silence, la solitude mais aussi la représentation de la vie américaine mais avant tout la peinture figurative d’Edward Hopper donne quelques indications, quelques pistes sur l’homme qu’il était, sur sa vision des choses et l’oeil se promène fasciné et intrigué par ses personnages figés comme saisis par l’objectif d’un appareil photographique et qui attendent…. mais quoi ? L’étrangeté est même dans ses paysages, ses représentations de la ville où il semble que la vie se soit arrêtée, où ne figure la plupart du temps nul personnage.