Excellent film sur un scandale d’état étouffé...En 2012, Maureen Kearney, incarnée par Isabelle Huppert, déléguée CFDT chez Areva, est devenue lanceuse d'alerte pour dénoncer un secret d'Etat qui a secoué l'industrie du nucléaire en France.
biopic politico-social et nucléaire, traité en thriller captivant, riche en suspense et en rebondissements
Derrière, en sous texte, c’est la condition féminine dans la France d’aujourd’hui qui est interrogée.
Un film délicieux, plein de charme, de douceur, constamment élégant, des dialogues bien ciselés et des interprètes inspirés, Sandrine Kiberlain et Vincent Macaigne; La fidélité , le couple , la passion , le désir et au final l'amour.
Poignant et bouleversant ,ce film nous plonge dans l'intimité mentale d'une survivante des attentats du 13 novembre 2015. C'est avant tout œuvre sur la résilience, qui traduit le travail de reconstruction des victimes. Malgré un lourd sujet, Alice Winocour a réussi à faire un film très doux et humain sur la reconstruction post-traumatique.
Plus qu'un simple roman, ce livre dénonce au travers d'une histoire comparable à la crise sanitaire de ces deux dernières années le pouvoir des multinationales sur le monde et la manipulation des populations par les Etats, organisations politiques ou religieuses qui utilisent tous les mêmes leviers pour arriver à leurs fins. Un livre bien documenté (sources citées en fin de livre) qui tente de nous ouvrir les yeux sur les méfaits de la mondialisation et du contrôle sans cesse grandissant de l'Etat sur nos vies, contrôle toujours présenté "pour notre bien";
Un éclairage sur la réalité de ce monde et l’aveuglement encore trop important des populations. Pour sauver notre peau, il va falloir se réveiller.
J'ai aimé tout particulièrement les références philosophiques et les connaissances qu' apporte L. Gounelle sur le trilemme de Rodrik, la manipulation des masses par exemples. Ce roman nous rappelle à quel point il est important d'apprendre, d'étudier, de remettre en question, pour garder une vision éclairée des évènements.
A lire absolument pour comprendre ce qui se joue et surtout comment on se joue de nous...
Un film frais, poétique, doux, sensible, bienveillant, presque un conte philosophique, un peu à la manière du Petit Prince auquel il est d'ailleurs fait référence. , un peu entre Amélie Poulain et May Poppins au masculin! un jolie moment de cinéma sans prétention.
Après "La loi du marché" et "En guerre", Stephane Brizé revient avec "Un autre monde", troisième film sur le monde du travail, troisième drame social, une fois encore interprété par un Vincent Lindon, exceptionnel dans ce rôle de directeur d'usine auquel on demande d´appliquer des directives que sa conscience sociale et son bon sens ne parviennent plus à assumer.
Un chef d'oeuvre de clairevoyance sur ce monde que l'on a construit où à tous les étages ont a fait des humains des esclaves pour que certains s'enrichissent !
"FRANCE" a eu une assez mauvaise critique tant au niveau de la presse que des spectateurs... personnellement j'ai aimé ce film .
Bruno Dumont fait partie de ces très rares cinéastes qui ont un style, très personnel, inimitable, une façon bien à lui de nous donner à voir le monde. Sur cet opus, il pointe sa caméra sur notre rapport à l'information. Pas seulement sur l'insupportable personnage campé par Léa Seydoux mais avant-tout sur la folie collective d'une société qui applaudit cette superficialité, cette obscénité et qui en redemande. Heureusement qu'il reste quelques réalisateurs hors cadres comme Bruno Dumont pour nous rappeler nos travers.
Un thriller haletant et réussi avec une ambiance et une réalisation maitrisée, un scénario complexe mais intelligible. Le film se situe dans un sujet qu'on ne maitrise pas, l'enquête et l'analyse de la sécurité de l'aviation civile et notamment l'analyse des boites noires lors d'un crash, et tout cela dans une histoire totalement captivante avec un rythme soutenu et efficace ajouté à un suspens de chaque instant....Quant à l'interprétation de Pierre Niney dans le rôle principal, on ne peut que saluer le talent de cet acteur très prometteur. A voir
Enfin vu en avant première et la qualité du film est à la hauteur de l'attente de sa diffusion!
Et il n'y a pas de doute , il y a un vrai public fan de Kaamelott fidèle 12 ans après le dernier épisode de la série! la salle était pleine à craquer et il a fallut 20 bonnes minutes avant de placer tout ce petit monde bien différent du public habituel des salles de cinéma! Et l'ambiance était là!
Le film est une réussite, Alexandre Astier n'a pas perdu son sens des dialogues, même si évidemment le format film est forcément différent du format épisodes de trois minutes...l'histoire est travaillée entre drame, humour et romance et se tient sur la durée.: Les répliques calibrées, les personnages fidèles, les décors sont aussi riches que variés, les costumes sublimes, et pour la fan que je suis, ces deux heures sont passées en 3 minutes (snif c'est déjà fini!) et d'attendre déjà avec impatience les volets 2 et 3 !!!
Kerven et Delépine franchissent un nouveau cap avec cette comédie dénonçant la société de consommation et ses multiples dérives. Internet, numérique, Gafa, société de consommation, gilets jaunes, sont, entre autres, au scénario de ce nouvel opus Les "Grolandais" s'arment d'un casting détonnant avec Corrine Masiero, Denis Podalydès, et surtout l'excellente Blanche Gardin pour son premier grand rôle au cinéma. Comme toujours, une écriture fine qui fait mouche en grossissant (pas tant que cela ?) le trait. Drôle, incisif, grinçant, aussi ubuesque que sérieux et désespéré, et au final assez terrifiant.
Les deux compères se bonifient au fil des films (le 10éme déjà) sans renier cet humour qui les a fait connaître.
Une comédie plus profonde qui n'y paraît, drôle, absurde et poétique
Le deuil, la recherche des racines, les liens du sang et ceux du cœur, la famille, le rapport à la mère, l'amour, l'amitié. autant de sujets que Maïwenn essaye de traiter dans ce film personnel, quasi autobiographique. Après "Mon Roi" et "Polisse" deux véritables coups de poing cinématographiques, je reste plus mitigée sur ce dernier film qui reste malgré tout digne d'intérêts multiples. Questionner son identité, au delà même de la nationalité, se questionner sur sa famille et son rapport à elle, il y a déjà de quoi faire. Le problème réside dans le fait que, à côté de quelques scènes très réussies ,il y a pas mal de scènes plus ou moins narcissiques, de la part de la réalisatrice, dans lesquelles on n' entre pas forcément... Bref mitigée mais c'est quand même Maïwenn!
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Une comédie plus profonde qui n'y paraît, drôle, absurde et poétique